François Wongué, représentant la BAD, a encouragé les femmes avicultrices à continuer de mener cette activité génératrice de revenu. Il les a exhortées à s’approprier les conseils des formateurs pour la réussite de leurs entreprises afin de sortir de l’informel.

Quant au chef de l’unité d’exécution du projet, Christian Tié Bi , il a indiqué que ces femmes qui pratiquaient une aviculture traditionnelle ont bénéficié d’un renforcement de capacités pour passer à une aviculture traditionnelle améliorée.

L’aviculture villageoise est un projet qui permettra aux femmes de s’autonomiser, de participer activement au processus de développement et d’en recueillir les bienfaits.

Aya louise Kouamé, bénéficiaire du projet témoigne. « Avec l’élevage traditionnel, mes poulets étaient fréquemment atteints de maladies et je subissais des pertes énormes ». Et d’ajouter : « Depuis que j’ai fait la formation, j’ai reçu des poulets, un abri pour les volailles, des couveuses, des aliments de volaille etc. Je compte faire de ce projet mon activité principale pour subvenir à mes besoins ».

CICG